Quand on n'a pas ce que l'on aime, il faut aimer ce que l'on a. (s.Gainsbourg)
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Quand on n'a pas ce que l'on aime, il faut aimer ce que l'on a. (s.Gainsbourg)
Le mot Pentecôte vient du grec pentèkostè, cinquantième (jour après Pâques).
Les premiers chrétiens ne célébraient pas la fête de la Pentecôte. Ils célébraient Pâques "grand dimanche" pendant 50 jours. C'est au 4ème siècle qu'on se mit à célébrer le 50e .
Dans le rite liturgique qui était en vigueur jusqu'au concile Vatican II, l'Église célébrait l'octave (la semaine) de la Pentecôte. Le lundi de Pentecôte était une "fête d'obligation". C'était le second jour de la Pentecôte, une fête solennelle. L'Église s'adressait aux nouveaux baptisés et aux nouveaux confirmés pour leur annoncer la grandeur de leur nouvel état.
Origine du caractère férié du lundi de la Pentecôte
Avant la révolution, toute la semaine qui suivait la Pentecôte (octave de la Pentecôte) était fériée. Le Concordat en 1802 a réduit le caractère férié au seul Lundi de Pentecôte.
Le lundi de Pentecôte est actuellement jour férié en Allemagne, en Autriche, en Belgique, aux Pays bas, en Suisse, en Norvège, en Suède au Danemark, en Islande et en Grèce. Mais il ne l'est pas en Italie, en Espagne, au Portugal, au Luxembourg, en Angleterre, en Irlande, en Pologne, en Russie.
Il faut savoir que le lundi de Pentecôte est toujours férié. Mais, depuis la loi 2004-626, il s’agit d’un jour férié pouvant être travaillé, concept nouveau inventé par nos ingénieurs énarques.
Ne cherchons pas à comprendre les femmes, aimons-les.
Peut-on continuer à accepter toutes ces violences?
Trente ans de politique laxiste (pour ne pas dire complice), avec en corollaire la non intégration d'une partie de la jeunesse issue de l'immigration, devait aboutir à la déflagration que l'on connait.
Durant ces trente dernières années, la gauche a été au pouvoir plus longtemps que la droite, et la "bienveillance" dont elle fait preuve envers ces petits caïds, l'a discréditée. "Petits sauvageons disait un Ministre".
Aberrant!
Pour autant, stigmatiser le gouvernement aujourd'hui est indécent. Il y a mieux à faire qu'à profiter des désordres pour en tirer avantage politiquement...
La police de proximité?
Oui, mais à quoi sert-elle si l'on ne peut poursuivre les délinquants et les mettre hors d'état de nuire?
Plus que jamais la concertation entre tous les services de l'Etat, les municipalités, les associations peut faire sortir de cette spirale infernale. C'est par une action résolue, concertée et continue que l'on pourra (peut-être) remédier à ce défi qui nous attend.
Déjà, les "donneurs de leçons" entrent en action, dénonçant les actions du Ministre de l'intérieur sur la sécurité, accusé de pratiquer une politique de droite, au mépris des délits et crimes commis.
N'est-il pas déjà trop tard pour agir efficacement devant ce fléau qui gangrène notre société?
Qu'en pensent ceux et celles que l'on entend jamais:
Les victimes?
Dans chaque église, il y a toujours quelque chose qui cloche.
Réunion de femmes attendant l'homme "parfait ".